Génération 7 épisode 26: Une expérience à ne pas rater.

Une nuit, alors que Niebieski allait prendre l'air comme toutes les nuits, il senti l'odeur caractéristique d'un humain.

Il continua sa course dans la direction de l'odeur. 

Il découvrit alors un homme qui semblait patienter. Sa course, il senti ses instincts prendre le dessus, et pour une fois, il les laissa faire. 

Il se rapprocha rapidement et silencieux comme une ombre ne faisant que légèrement virevolter les feuilles mortes sous ses pas. Ses canines devinrent douloureuse en l'attente de ce moment.

Se trouvant face à lui, il utilisa l'hypnose que sa mère lui avait montrer afin de déconnecter l'esprit du corps et de la douleur. Il n'eu même pas à réfléchir.

Se laissant guider pas l'odeur, si puissante et si enivrante du sang humain. Il retint l'homme de tomber. 

Pencha sa tête afin d'accéder plus facilement là où l'odeur est la plus forte, la peau la plus fine et le pouls plus agréable encore, comme une promesse de chaleur et de longues gorgées d'extase. 

Il planta alors ses canines et le sang gicla dans ta gorge au rythme du cœur de sa victime. Le goût, si chaud, si vivant, si exquis, Niebieski ne put attendre que le cœur batte une nouvelle fois et commença à aspirer de longues gorgées, il y en avait tellement!

Il fit une pause, se permettant de profiter de se goût un instant de plus sur sa langue si sensible à se goût.

Mais très vite il en voulait plus! Il se remit alors frénétiquement en quête de sa morsure et continua de vider sa proie. Mais finalement, les gorgées se firent plus difficile à obtenir, l'homme devenant de plus en plus lourd dans ses bras.

Il le lâcha alors, et le vit s'effondrer au sol tel une poupée de chiffon. 

Ses instincts l'ayant coupé de son humanité ne le lâchèrent pas, et il contempla, satisfait, sa pauvre proie.

Cet humain si inférieur à l'être qu'il était. Un simple repas.

Mais la frénésie commençant à redescendre, il s'allongea près de sa victime et contempla le ciel étoilé. repensant à ce qu'il venait de faire. Lui qui pensait être assez fort pour se contrôler, avait laissé le monstre en lui prendre le dessus et... tuer. Il avait tué, si facilement. Mais comment avait il pu?! Si cet homme avait été un de ses amis? Il avait sûrement des amis, de la famille. Mais il avait maintenant disparu à jamais, à cause de Niebieski.

Il retourna rapidement chez lui, espérant que personne ne l'avais vu.

Il prit cependant le temps de vérifier que personne n'était aux alentour. 

Sentant l'aire et écoutant attentivement le bruit des feuilles, il n'entendit rien, et se contenta de rentrer.

Il tenta de se changer les idées en pianotant un air dans la grande salle, mais ne parvint pas à effacer le regard de l'homme avant qu'il n'y plonge ses crocs... Se goût... Puis cette poupée de chiffon, tout ce qu'il restait de cet homme...

- Papa, maman vous êtes là... J'ai... J'ai fait quelque chose d'horrible!
- Ton odeur à changé fils, que s'est il passé? lui demanda Caleb.
- J'ai... Attaqué un humain.
- Lui as tu bien effacé la mémoire comme je te l'ai dit mon chéri?



- Non maman, je... Je l'ai tué!
- Au moins tu n'as pas besoin de vérifier que l'effacement de mémoire ait fonctionné! Alors?! S'était comment?!

- Affreux maman! Je me sens tellement mal! Il devait avoir une famille, des amis! Je suis un monstre assoiffé de sang! Je ne veux plus jamais revivre ça!

- Hummm oui... Je goût du sang sur la langue... L'excitation de la chasse, le lâché prise total...
- Je ne vois même pas pourquoi je parle de ça avec toi maman! Papa, comment as tu réussis à la faire arrêter ça alors qu'elle le désir toujours!
- Je ne le désir plus mon grand! Ce sont juste des souvenirs... Maintenant je dois me contrôler sans cesse. Ça ne me posait auparavant aucun problème de laisser ma véritable nature prendre le dessus... Le lâché prise. Tu as dût le sentir.
- Oui. Mais la prise de conscience ensuite fait trop mal! 

- Papa. Je suis sérieux, je ne veux plus revivre ça, mais maintenant que j'ai laissé mes instincts prendre le dessus, j'ai peur qu'ils ne se réveillent au mauvais moment! Et que je ne parvienne pas à me contrôler.


- Imagine que je m'en prenne à mes amis?! Ou à toutes l'école?! Maintenant que je sais quel est le goût de... Je... Je ne sais pas si j'arriverai à me contrôler! 

- Il faut que tu m'enfermes papa. Il n'y a pas d'autre choix. Pour le bien de tous...

- Comment?! mais tu n'y penses pas! Je ne vais pas enfermer mon propre fils pour l'éternité alors qu'il rêve d'avoir des amis et de faire le bien autour de lui! C'est hors de question. J'ai déjà ta mère qui ne sort plus. 
- Mais.... Papa...

- Et se remède alors?! Tu as perdu tout espoir?
- Mais comment veux tu que je le trouve seul?
- Je parlerai à ta mère... En attendant, reste calme et sort. Retourne voir tes amis, tu ne leur a jamais faire de mal. Il t'a toujours suffit de rester concentrer sur leurs amitiés non?

- Mais si je m'en prends à eux?
- Si tu sens que tes instincts tentent de prendre le dessus, revient ici. Et je t'enfermerai moi même. Mais j'ai confiance en toi mon fils. Tu y arriveras.

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