Génération 6 épisode 9: Un amour destructeur.

Un jour, alors que Azul était descendu sur la place en bas de chez lui, une jeune femme le reconnu et commença à le draguer ouvertement. Azul lui fit gentiment comprendre que son cœur était déjà prit, mais le mal était fait.

En effet, depuis la fenêtre du côté de la place, Caroline avait épié Azul, comme à son habitude, pour être sûr qu'il fasse ce qu'il avait dit aller faire. Et elle a vu son mari discuter gentiment discuter avec une jeune femme qui le draguait. Elle lui fit alors un plat, un plat bien particulier.

- Bon retour mon amour, qu'est ce qui t'a prit tant de temps?
- Rien, quelqu'un qui voulait parler avec moi de mon parti politique.
Ce qui était vrai. 
- Vient, je t'ai préparer à diner. 
- Merci mon cœur! 

- hmmm C'est... interessant... Qu'est ce que c'est? Des nigiri? Mais le poisson... il a un étrange goût.
- Ha bon? C'est du Fugu pourtant.
- Ha, j'en ai déjà mangé pourtant, mais il n'avait pas ce goût là... Tu sais que si il est pas super bien préparer il peut causer la mort?

- Hummm oui, j'en ai entendu parlé...
- Je... Respi...
- Maman!! Moi aussi manger!

Mais Azul n'arrivait plus a respirer. Il se senti défaillir! Sa fille, il ne fallait pas qu'elle en mange!! Mais comment l'en empêcher?! Caroline, il fallait faire confiance à Caroline... Mais, c'était elle qui venait de l'empoisonner! Que faire?!

Le stress accéléra son pouls et le poison se diffusa plus vite encore, atteignant son cœur. 

- Ho non! Ca a véritablement marché?! Mais qu'ai je fais?! Je voulais juste lui faire payer sa trahison...
- Maman? Papa dodo ?
- Heu... Oui, ne mange pas de se plat ma grande... Maman va te donner autre chose.

L'esprit de Azul réapparu, sortant de son corps sans vie. Il alla pour réconforter sa belle en l'embrassant, car il avait vu sa tristesse et le regret dans ses yeux. Mais cette dernière le repoussa.
- Non, je dois être folle, mon mari est mort, je l'ai tué... Je dois payer et le retrouver pour qu'il soit à moi à tout jamais.

Azul ne sait que faire. Il sait ce que sa moitié va tenter de faire, mais sa fille. Elle se retrouvera seule.

- Mais pourquoi cela ne fonctionne il pas?! C'est pourtant le même poisson que lui. Je ne devrais pas y survivre.

C'est l'anniversaire de Cheren! C'est sa mamie qui lui a organisé cette petite fête. La mort de son fils l'a anéantie, mais personne ne semble savoir ce qu'il s'est passé. Et elle compte bien ne pas laisser sa petite-fille souffrir de ce deuil qui rend sa maman si amorphe.

- Non mais ce n'est pas vrai?!
- Mais si Monsieur Vatore, je vois mon papa qui vient me rendre visite parfois, il m'a dit que s'était maman qui lui avait servi un plat qui l'a tué, et que maintenant elle essayait de se le faire à elle aussi. Il faut que quelqu'un arrive a arrêter ma maman, sinon je vais être toute seule.
- Mais comment?! Ta maman ne parles plus à personne, elle est déjà plus qu'un fantôme.
- Si ma maman part elle aussi, je voudrai rester ici, c'est là que je vois mon papa, mais est ce que vous voudriez bien veiller sur moi? Pour lui? Il m'a dit que vous étiez une bonne personne, et mes grands parents ne sont plus si jeune.
- Si il le faut, je m'occuperai de toi.
L'homme a l'arrière ne croit pas un mot de la gamine et est persuader qu'elle a inventé toute cette histoire, évidemment, comment croire qu'un père décédé accuse sa femme de meurtre. Cette petite à une imagination débordante et ce jeune homme semble tout gober, ce qui l'amuse beaucoup. 

Le soir, Cheren va se coucher, sa mamie lui a offert un très jolie lit.

Au petit matin, elle fait les devoirs qui lui ont été envoyé afin de se préparer pour son premier jour.

En allant à l'école, elle croise un carton abandonné, et tente de trouver des choses utile à l'intérieur. Pas grand chose, si ce n'est une petite boule à neige que son papa collectionnait. 

La petite partie, Caroline mange le dernier morceau de nigiri. Son dernier espoir de retrouver l'amour de sa vie. Elle n'était pas sûr de réussir de nouveau à retrouver du Fugu.

Et enfin, elle senti une gêne, qui continua a augmenter jusqu'à l'empêcher de respirer. 

*Ca y est mon amour, je viens te rejoindre.*

Et c'est ainsi que les deux parents de Cheren disparurent. La relation autodestructrice était belle est bien réelle.

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